soirée contes du 13 janvier 2008

texte brut de loki

[Une nuit, j'ai revu Melody Lemon de loki


22:00] 4 saturnien > bon qui veut commencer à laisser des phrases tirées de sa tête comme l'on tire le bon vin ?
[22:00] 1swan > j'ai le cerveau éponge ...
[22:01] 4 saturnien > c'est une coopérative, ici, on récolte pour le bien de tous
[22:01] 1Lokilecu_entredeuxchez > quelques vers solitaires
[22:01] 4 saturnien > ou en prose artistique
[22:01] 1Lokilecu_entredeuxchez > (je peux commencer mais faidra que je m'absente apres)
[22:02] 4 saturnien > d'ac, ça marche pour tout le monde ?
[22:02] 2Faxa > Bonsoir
[22:02] 1LuNa > okette
[22:02] 1swan > allez
[22:02] 1Lokilecu_entredeuxchez > Bonsoir!!
[22:02] 2Faxa > sapin
[22:02] 4 saturnien > B O N S O I R
[22:02] 1Lokilecu_entredeuxchez > ^^
[22:03] 1Lokilecu_entredeuxchez > demat!
[22:03] 4 saturnien > gringalet
[22:03] 1Lokilecu_entredeuxchez > moi? de moins en moins helas
[22:03] 1LuNa > Tiroir
[22:03] 1swan >
[22:03] 5Lokilecu_entredeuxchez note sapin gringalet tiroir
[22:03] 1swan > attendez je cherchasse
[22:04] 1LuNa > Bible
[22:04] 1swan > siroter
[22:04] 4 saturnien > vouaï !
[22:04] 1LuNa > ^^
[22:04] 1Lokilecu_entredeuxchez > ame vla beau
[22:04] 4 saturnien > bible siroter gringalet tiroir sapin
1 [22:04] xdk a rejoint le salon.
1 [22:04] Lokilecu_entredeuxchez s'appelle maintenant Loki.
[22:05] 4 saturnien > salut xdk !
[22:05] 1swan > tè
[22:05] 1Loki > bonsoir :sifflote:
[22:05] 1xdk > (juste de passage pour vous saluer bien fort)
[22:05] 1swan > aïe mes oreilles
[22:05] 4 saturnien > bise fraternelle sur le front
[22:06] 5swan soulève la casquette, kiss le crâne et repose la casquette
[22:06] 4 saturnien > et de deux !
[22:06] 5Loki invite xdk a s'asseoir quelques part sur la face caché de la lune tiens pourquoi pas
[22:06] 1LuNa > ^^
[22:06] 4 saturnien > au hasard
[22:06] 1Loki > car le conte ou plutot l'histoire ou je ne sais va commencer...
[22:07] 5 saturnien rajoute une bûche dans le foyer
[22:07] 5Loki s'eclairci les doigts
[22:07] 5LuNa s'enroule dans sa cape
[22:07] 1swan >
[22:07] 5Loki toussote
[22:07] 5Loki sautille et esquisse une reverence ridicule
[22:07] 5swan essaie de garder son sérieux
[22:07] 1xdk > Je reviendrrrai [ terminator en ariege]

[22:08] 1Loki > Oyez oyez
1 [22:08] xdk a quitté le chat. Quit: A bientôt
[22:09] 1Loki > Ca, c'est l'histoire de.. Melody Lemon.
[22:09] 1Loki > Une petite fille aussi pressée qu'un citron.
[22:10] 1Loki > Elle n'était pas plus haute qu'un sapin de noel coupé trop jeune.
[22:10] 1Loki > Son coeur en écharpe elle s'était enfuie un soir de chez elle en suivant le bout de son nez.
[22:11] 1Loki > L'herbe est plus verte ailleurs lui avaiot on dit. Je le sais bien, c'est moi qui le lui avait raconté ces histoires insensées.
[22:12] 1Loki > Elle avait pris son sac, deux trois petites culottes en coton rose pale, de celle que j'amais lui enlevé les soirs de pleine lune et les autres aussi.
[22:12] 1LuNa >
[22:12] 1Loki > Une serviette bleue, un noeud pour les cheveux, sa brosse a dents..
[22:12] 1Loki > et aussi son ombre au cas ou elle trouverai le soleil.
[22:13] 4 saturnien > ^^
[22:13] 1Loki > Oh Melody j'en ai pu faire des conneries pour ton nez en l'air, aimable petite conne.
[22:14] 1Loki > Celle de t'envoyer loin derriere l'horizon fut la plus grande.
[22:15] 1Loki > Des oiseaux de passages me raconte quelques fois ton histoire, tes errances de tiroirs en tiroirs, d'hotels en hotels, de chambre en chambre
[22:15] 1Loki > d'homme en homme.
[22:15] 1Loki > Tes petites culottes virevoltent dans les mains d'autres que moi, ..as tu seulement trouvé le soleil?
[22:16] 1LuNa > ^^
[22:16] 1Loki > Ca, c'est l'histoire d'un anaconda farceur qui se joue des tours pour ne pas voir le soleil ni la lune et marcher a cotés de ses doigts. Ca c'est mon histoire.
[22:17] 1Loki > Un gringalet qui n'en pouvait plus d'avoir vu partir cette petite folle de Melody, petite pousse pas plus grande qu'une pomme que l'on range dans un tiroir pour la nuit.
[22:17] 1Loki > Une adorable garçonne, si délicieuse enfant, que je n'ai connu qu'un instant.
[22:18] 1Loki > Dix ans de trop, dix ans trop tot, tant nous séparais, mais tes yeux sont si beau quand le plaisir t'envahissait.
[22:19] 1Loki > Alors je suis parti a ta poursuite, a travers les camions poubelles des cités, a travers les champs et les allées sombres.
[22:19] 1Loki > D'hotel en hotel, de chambre en chambre, de femme en femme...
[22:20] 1Loki > Je t'ai retrouvé assise sur une pierre, a siroter une bible que tu étais.
[22:20] 1Loki > Pauvre Melody Lemon.
[22:20] 1Loki > J'ai eu beau faire a tant sortir de tes pensées.
[22:20] 1Loki > C'était trop tard
[22:20] 1Loki > Tu en avais de l'amour.
[22:20] 1Loki > Melody Lemon.
[22:21] 1Loki > Tu en avais des tonnes.
[22:21] 1Loki > Tu avais a peine quatorze automne quand tu es parti.

[22:21] 1Loki > Je referme la porte.
[22:22] 1Loki > Adieu Melody Lemon.
[22:22] 1Loki > J'ai menti...
[22:22] 1Loki > C'est moi qui suis parti.
[22:22] 1Loki > ...
[22:22] 1LuNa > ^^
[22:22] 1Loki > hum.; fin ^^
[22:22] 1LuNa > clap clap clap
[22:23] 1LuNa > bravo !!
[22:23] 4 saturnien > bravo !

Le katana des 4 serpents


[22:35] 1LuNa > Je ne me juge pas boulègue, je me relis avec recul... j'aime tout ce que j'écris même quand ça veut rien dire :p
[22:36] 4 saturnien > 4 ah ben tant mieux
[22:36] 4 saturnien > 4 c'est vrai, que les mots prennent des sens différents, un autre soir
[22:36] 1LuNa > Tiens d'ailleurs j'veux bien conter
[22:36] 4 saturnien > 4 allez !
[22:36] 1LuNa > oui, mais les mots sont magiques
[22:37] 1swan > merci de prévenir
[22:37] 1LuNa > ^^
[22:37] 1LuNa > 5 mots?
[22:37] 4 saturnien > 4 oui, les mêmes mots n'ont pas le même sens, si on les utilise devant une amante ou devant un fonctionnaire
[22:38] 1LuNa > ^^
[22:38] 1LuNa > oui !!
[22:38] 4 saturnien > 4 alors : pulpe
[22:39] 1LuNa > oui?*
[22:39] 1LuNa > *sifflote*
[22:39] 1LuNa >
[22:39] 4 saturnien > 4 tu en fait ce que tu veux
[22:39] 1LuNa > oui mais m'en encore 4
[22:39] 1swan > hémiplégie
[22:40] 4 saturnien > 4 faxa ?
[22:40] 4 saturnien > 4 mmmppffff
[22:40] 1LuNa > ^^
[22:40] 1LuNa > zz zzz zz
[22:40] 4 saturnien > 4 bon alors : viscères
[22:41] 1LuNa > ^^
[22:41] 1swan > katana
[22:41] 1LuNa > c'est quoi?
[22:41] 1LuNa > lol
[22:41] 1swan > l'arme de combat des japonnais
[22:41] 1LuNa > ok
[22:41] 4 saturnien > 4 un sabre japonais
[22:42] 1LuNa > pulpe, hémiplégie, viscères
[22:42] 1LuNa > katana
[22:42] 1LuNa > Un autre?
[22:42] 4 saturnien > 4 et pour finir : aréole
[22:42] 1swan > manque pas un "u"
1 [22:42] Faxa a quitté le chat. Quit: A bientôt
[22:43] 1LuNa > Surface pigmentée qui fait un cercle autour du mamelon du sein.
[22:43] 1LuNa >
[22:43] 4 saturnien > 4 non je pensais à autre chose
[22:43] 4 saturnien > 4 voilà
[22:43] 1swan > pardon ...
[22:43] 1swan > :$
[22:43] 1swan > oups ... sifflotte
[22:43] 1LuNa > nan mais j'ai rzegardé sur le net swan
[22:43] 1swan > hhihihihi tricheuse
[22:44] 4 saturnien > 4 non, c'est moi, il ne faut pas me laisser entre deux filles, j'ai de ces pensées
[22:44] 1LuNa > B on je me concentre une minute
[22:44] 1LuNa > hum
[22:44] 1LuNa > ^^
[22:45] 1LuNa > Un jour, un jour sombre
[22:45] 1LuNa > Un jour chaud et humide
[22:46] 1LuNa > Dans la moiteur des transpirations saccadées
[22:46] 1LuNa > Les assaults des moustiques, les voilures d'une moustiquaires...
[22:46] 5Loki ecoute l'air de rien
[22:46] 1LuNa > Une jeune femme rêvait
[22:46] 1LuNa > ^^
[22:48] 1LuNa > Ses seins se raidissaient sous la fine brise qui haletait en alternance
[22:49] 1LuNa > Ses aréoles devenait plus petite, ses tétons pointaient sous les stries bruns de son mamelon...
[22:49] 1LuNa > Elle regardait sa poitrine généreuse, spectacle de son corps erectile
[22:50] 1LuNa > Ses viscères à l'écoute du moindre signal
[22:50] 1LuNa > Elle sentait ses veines gonflée sous la chaleur, ses mains se balançaient mollment
[22:51] 1LuNa > C'est dans cet atmosphère qu'elle sentit une main puissante la happer sous le lit
[22:51] 1LuNa > Elle resistait, étouffait ses cris, se disant qu'elle ne devait reveiller personne...Sentant que elle seule pouvait percevoir cette main, sentir cette ombre puissante
[22:52] 1LuNa > Elle fut prise d'une hémiplégie de toute la partie gauche de son corps
[22:52] 1LuNa > Elle se raidissait dans une convulsion étrange
[22:53] 1LuNa > Elle pensait à son coeur, son coeur était enserré par cette même main
[22:53] 1LuNa > Elle sentait monter en elle un orgasme jamais rencontré alors
[22:53] 1LuNa > Elle allait partir
[22:54] 1LuNa > Elle sebtait qu'elle devait lacher prise, laisser cette étrange créature s'emparer d'elle
[22:54] 1LuNa > Elle lacha... s'ensuivit l'obscurité... Les <couloirs à n'en plus finir
[22:55] 1LuNa > Elle était dans un labyrinthe, les portes avec des numéros... elle cherchait, presque instinctivement, le chiffre 4
[22:55] 1LuNa > Elle devait franchir la porte numéro 4
[22:55] 1LuNa > Seulle celle ci pouvait la sortir d'ici
[22:56] 1LuNa > Alors dans son crâne, des images, des serpents, des entités qui la dévore
[22:56] 1LuNa > Elle sait que ses chairs seront mangée
[22:56] 1LuNa > Elle laisse faire
[22:57] 1LuNa > Quand les créatures la mangent elle se reconstitue d'autres chairs, état perpetuel
[22:57] 1LuNa > Elle continue cependant son cheminement
[22:57] 1LuNa > Elle erre, tangue, chavire de porte en porte
22:58] 1LuNa > Elle découvre des mondes plus étranges encore... des mondes qui recontent d'autres histoires, même si ce sont les mêmes
[22:58] 1LuNa > La porte numéro 4
[22:58] 1LuNa > Elle la voit, devant elle
[22:59] 1LuNa > Elle ne la franchira pas ce soir, pas encore.
[22:59] 1LuNa > Elle sait sa présence, sa fin.
[22:59] 1LuNa > Voilà, son histoire se termine ainsi.
[22:59] 1LuNa > ^^
[22:59] 4 saturnien > 4 bravo !
[22:59] 1Loki > XD

Ciel mon mari
[23:13] 1swan > aboulez les mots
[23:14] 1LuNa > Papillon
[23:14] 4 saturnien > 4 souplesse
[23:14] 1Loki > fermeture eclair
[23:14] 5swan s'empart de son cahier
[23:15] 4 saturnien > 4 patinage
[23:15] 1LuNa > Soleil
[23:15] 1swan > bon
[23:16] 1swan > ca va ... pas trop de fanfrelucheries
[23:16] 4 saturnien > 4 papillon, souplesse, fermeture éclair patinage soleil
[23:16] 1swan > laissez moi quelques instants
[23:16] 1LuNa > ok ^^
[23:16] 5Loki danse le mambo deguisé en autruche
[23:16] 1swan > oui non mais merci de ne pas me déconcentrer non plus
[23:17] 5Loki montre son sexe et le cache aussi vite qu'il l'a sorti
[23:17] 5 saturnien saute sur un matelas en peau de loutre de sibérie
[23:17] 5LuNa calme Loki comme elle peut
[23:17] 1LuNa > ^^
[23:17] 1Loki > accroche toi pour calmer ca ^^
[23:17] 5Loki titille les crateres de la lune
[23:18] 5LuNa toussote
[23:18] 5swan punaise Loki sur un poteau
[23:18] 5Loki fait coucou a saturne depuis le poteau
[23:18] 5 saturnien fait des graffitis sur son poster de Lorie
[23:18] 5swan fait craquer ces doigts qui n'ont pas grandit depuis le CP et ce lance
[23:18] 1swan > pardon
[23:18] 1swan > se lance
[23:19] 1swan > Elle jette son lourd sac rouge à terre et s'étale sur son canapé râpé, épuisée de son week end ...
[23:19] 1swan > Quel week end !
[23:20] 1swan > Elle n'aurait jamais imaginé un week end plus torride que celui qui venait de s'achever !
[23:21] 1swan > EN ouvrant la fermeture éclair de son bagage,
23:22] 1swan > elle repensait à comment tout avait commencé, non sans quelques papillons dans le ventre!
[23:22] 1swan > Elle sentait gamine, elle l'etait et trouvait ça amusant, à son âge ... à leur âge !
[23:23] 1swan > elle*se sentait
[23:24] 1swan > Elle lança machinalement une lessive ...
[23:24] 1swan > sans réflechir ... ailleurs... elle est encore là bas ... lui aussi
[23:26] 1swan > Que fait il ?
[23:26] 1swan > Ya t il du soleil ?
23:28] 1swan > Elle s'en fichait ... elle préférait penser aux week end à venir
[23:30] 1swan > et pourtant des week end comme ca, elle n'etait pas prete d'en refaire !
23:31] 5Loki s'est decroché de son poteau pour zecouter
[23:32] 1swan > Son mari se doutait de quelques chose
[23:32] 1swan > c'est avec souplesse et délicatesse qu'elle préparait ces escapades crapuleuses
[23:33] 1swan > Que pouvait elle trouver, pour la prochaine fois !
[23:34] 1swan > Etre professeur de patinage artistique lui aurait offert
[23:34] 1swan > plus de possibilité ...
[23:34] 1swan > Elle est femme au foyer !
[23:34] 1swan > Elle trouvera ...
[23:34] 1swan > *fin*
[23:35] 1Loki > clap clap
[23:35] 4 saturnien > 4 bravo !

La couleur des plaisirs

[23:44] 4 saturnien > 4 pourquoi pas
[23:44] 1Loki > corail
[23:44] 1LuNa > Perle
[23:45] 1swan > j'y vais aussi
[23:45] 1Loki > etranglement
[23:45] 1LuNa > Clitoris
[23:45] 1swan > se fut un plaisir
[23:45] 4 saturnien > 4 arf, bon ben tant pis
[23:45] 1swan > de vous retrouver
[23:45] 1LuNa > ok bonsoir swan et au plaisir
[23:45] 1Loki > (atta ca va conter fesses ^^)
[23:45] 1swan > au plaisir
[23:45] 1swan > arf
[23:45] 4 saturnien > 4 bonsoir
[23:45] 1LuNa > Moi je reste du coup ^^
[23:45] 1swan > faites des copier coller
[23:45] 1swan > :p
[23:45] 1swan > je vous bisoute
[23:45] 1Loki > je reste aussi du coup
[23:45] 1LuNa > bisoute
[23:45] 1LuNa > ^^
[23:45] 1Loki > nous aussi a rois
[23:45] 1Loki > trois
[23:45] 1Loki > on te bisoute
1 [23:45] swan a quitté le chat. Quit: A bientôt
[23:46] 1Loki > ^^
[23:46] 1LuNa > corail, braise, perle, forniquer
[23:46] 1Loki > etranglement, forniquer corail, clitoris et perle
[23:46] 1Loki > et braise
[23:46] 1LuNa > ^^
[23:46] 4 saturnien > 4 d'ac
[23:47] 5Loki s'asseoit a coté de Luna pour ecouter le saturnien
[23:47] 5LuNa se love tout contre
[23:47] 4 saturnien > 4 pas de cochoncetées, hein ?
[23:47] 1LuNa > ^^
[23:47] 4 saturnien > 4 Alors
[23:47] 5Loki caresse les fesses de Luna pour se mettre dans l'ambiance
[23:47] 4 saturnien > 4 ^^
[23:48] 5LuNa frissonne
[23:48] 4 saturnien > 4 Planête Cryon, plaines duveteuses, monts érectiles
[23:49] 4 saturnien > 4 où partout, dans les villes sous domes, la fête des sens est tactile
[23:49] 5Loki se sent tactile
[23:50] 4 saturnien > 4 dans Cormona, la sainte, la religion est le sexe
[23:50] 5LuNa se sent sous dome
[23:51] 4 saturnien > 4 Et les pretresses s'ennivrent sans aucuns complexes
[23:51] 4 saturnien > 4 Les temples d'or, où la populace en toge vient forniquer
[23:52] 4 saturnien > 4 sur des sols de marbre, les corps viennent s'enlacer
[23:52] 5Loki tente de glisser sa main vers les monts erectiles de la lune
[23:53] 5LuNa se sent erectile tout à coup
[23:53] 4 saturnien > 4 masculins et féminins ne peuvent avoir que le choix
[23:53] 5LuNa se sent pretresse ce soir
[23:54] 4 saturnien > 4 de se mélanger sans savoir d'où proviennent ces émois
[23:54] 4 saturnien > 4 le grand prêtre est beau, glabre,noir, musclé, et nu,
[23:55] 1LuNa > mmmhhh ^^
[23:55] 4 saturnien > 4 il tend aux prétresses la sève de son sexe distendu
[23:55] 4 saturnien > 4 des milliers de femmes se pressent pour en recevoir quelques gouttes
[23:56] 4 saturnien > 4 pour se sanctifier dans une folie sensuelle en déroute
[23:56] 4 saturnien > 4 son vit tendu, lâche une semence hallucinogène
[23:57] 4 saturnien > 4 elle se prend comme une crème, un remède à la morosité et à la gêne
[23:57] 4 saturnien > 4 la folie prends alors les femelles qui déchirent leur toges légères
[23:58] 4 saturnien > 4 elles se donnent à tous, la croupe offerte aux assaults sévères
[23:58] 5Loki pince un bout de sein de la lune pour la sortir de sa torpeur (et lui signifier qu'elle bave la)
[23:58] 5LuNa gémit un petit coup et giffle Loki
[23:59] 1LuNa > ^^
[23:59] 4 saturnien > 4 que les mâles donnent en saccades brutales où se mèlent la sueur
[23:59] 4 saturnien > 4 coït brutal, où la fureur devient douce saveur
[00:00] 4 saturnien > 4 et les femelles gémissantes, endiablées les poussent à plus d'ardeurs de baise
[00:00] 5Loki saisit la lune a la gorge
[00:01] 4 saturnien > 4 leurs seins sont gonflés, leur sexe, bouillonnant, humide braise
[00:01] 5LuNa regarde Loki de ses yeux couleur or
[00:01] 4 saturnien > 4 s'ouvre en accord de l'harmonie qui venant des voûtes
[00:01] 5Loki plaque sa main entre les cuisses de la lune tout en ecoutant saturne
[00:02] 4 saturnien > 4 enfièvre davantage les corps, engloutissant tout doutes
[00:02] 5LuNa caresse le sexe tendu sous le pantalon de Loki
[00:02] 5LuNa écoute le conte avec frénésie
[00:03] 4 saturnien > 4 quand la mélopée change, et se fait douce, les mains mâles s'immissent
[00:03] 5Loki glisse sa main vers la fente bouillonante de la lune et le laisse engloutir ses doigts un a un
[00:03] 4 saturnien > 4 et viennent délicatement jouer, avec la perle rose du clitoris
[00:04] 5LuNa se laisse faire
[00:04] 4 saturnien > 4 les langues alors se font féroces, roulent comme des démons
[00:04] 5Loki se laisse guider au rythme du conteur
[00:04] 4 saturnien > 4 laissant des sillons moites parmis les fentes et les toisons
[00:04] 5LuNa s'étend sur le sol, des convulsions l'assaillent
[00:05] 4 saturnien > 4 les glands gonflés de sperme ne sont pas, non plus oubliés
[00:05] 5Loki denude l'astre et la regarde se contorsionner sous les assauts de ses caresses
[00:05] 4 saturnien > 4 et des bouches voraces, viennent y chercher l'élixir prêt à gicler
[00:06] 5LuNa va jouir
[00:06] 4 saturnien > 4 les bras se meuvent, se prennent s'attirent, et parfois dans un étranglement
[00:07] 4 saturnien > 4 un cri sauvage multiplié par mille vient faire résonner le marbre sauvagement
[00:07] 5Loki joue avec la face cachée de l'astre
[00:07] 5LuNa retourne Loki sur le sol, les deux poignets contenus
[00:07] 5LuNa le baise violement
[00:08] 4 saturnien > 4 les prétresses chevauchent en furie leurs étalons, en secouant leur rouge chevelure
[00:08] 5Loki aime bien ce conte ^^
[00:08] 5LuNa pose ses lèvres sur sa bouche
[00:08] 5LuNa aussi ^^
[00:08] 4 saturnien > 4 la tension monte, éclate, et vient vibrer en intense luxure
[00:08] 5Loki se refuse aux baisers de la lune, et joue avec son desir
[00:09] 5LuNa prend Loki à la gorge
[00:09] 5LuNa commence à serrer dangereusement
[00:09] 5Loki deguste l'emprise de la fente lunaire sur son sexe
[00:09] 4 saturnien > 4 le temple s'ouvre alors, et le ciel apparaît, illuminant l'orgie vaille que vaille
[00:10] 5Loki etouffe et rend la pareil a l'astre
[00:10] 5LuNa lache prise
[00:10] 4 saturnien > 4 le soleil mourrant reprends des couleurs et redevient une boule de corail
[00:11] 4 saturnien > 4 alors le grand prêtre, le sexe à la main, vient déposer une goutte de sperme sur les langues tendues
[00:11] 5LuNa serre très fort avec ses jambes
[00:11] 5Loki cale la lune contre son torse en lui saisissant les cheveux, ses coups de reins se font de plus en plus violent
[00:12] 4 saturnien > 4 il sanctifie, ainsi, les couples harrassés, échevelés, heureux, souillés, enfin au plaisir parvenu
[00:12] 5LuNa va défaillir
[00:12] 5LuNa monte lumineuse et volcanique
[00:12] 5Loki enfonce sa langue dans la bouche de luna
[00:13] 4 saturnien > 4 la messe est dite, les coïts ont sauvé la planête, les couples, les trios, les groupes se séparent
[00:13] 5LuNa lui donne sa langue
[00:13] 5Loki jouit violemment au fin fond du sexe de la lune
[00:13] 5LuNa jouit au même instant
[00:13] 4 saturnien > 4 en souriant se rhabille, s'embrassent, rient, et lentement retourne dans leurs maisons noires
[00:14] 1Loki > (c'est beau la litterature c'est toujours simultané ^^)
[00:14] 1LuNa > ^^
[00:14] 5Loki soupire : quel joli conte
[00:14] 4 saturnien > 4 en attendant le jour du grant foutraillement, dans 3 jours, où les sens s'embraseront
[00:15] 5Loki rebande doucement a l'interieur de la lune
[00:15] 4 saturnien > 4 une fois de plus, pour faire revenir la joie des corps et au soleil, sa belle couleur vermillon
[00:15] 5LuNa le sent, elle entame un va et vient léger
[00:16] 4 saturnien > 4 fin
[00:16] 1LuNa > Bravo !!!
[00:16] 4 saturnien > 4 mais je vous laisse finir
[00:16] 1LuNa > lol

Une nuit, j'ai revu Melody Lemon de Loki


bible siroter gringalet tiroir sapin


Oyez, Oyez
Ca, c'est l'histoire de Melody Lemon.
Une petite fille aussi pressée qu'un citron.
Elle n'était pas plus haute qu'un sapin de noël coupé trop jeune.
Son cœur en écharpe, elle s'était enfuie un soir de chez elle en suivant le bout de son nez.
L'herbe est plus verte ailleurs lui avait-on dit. Je le sais bien, c'est moi qui le lui avait raconté ces histoires insensées.
Elle avait pris son sac, deux trois petites culottes en coton rose pale, de celle que j'aimais lui enlever les soirs de pleine lune et les autres aussi.
Une serviette bleue, un nœud pour les cheveux, sa brosse a dents et aussi son ombre au cas où elle trouverait le soleil.
Oh Melody j'en ai pu faire des conneries pour ton nez en l'air, aimable petite conne.
Celle de t'envoyer loin derrière l'horizon fut la plus grande.
Des oiseaux de passages me raconte quelques fois ton histoire, tes errances de tiroirs en tiroirs, d'hôtels en hôtels, de chambre en chambre, d'homme en homme.
Tes petites culottes virevoltent dans les mains d'autres que moi, as-tu seulement trouvé le soleil?

Ca, c'est l'histoire d'un anaconda farceur qui se joue des tours pour ne pas voir le soleil ni la lune et marcher a cotés de ses doigts. Ca c'est mon histoire.

Un gringalet qui n'en pouvait plus d'avoir vu partir cette petite folle de Melody, petite pousse pas plus grande qu'une pomme que l'on range dans un tiroir pour la nuit.
Une adorable garçonne, si délicieuse enfant, que je n'ai connu qu'un instant.
Dix ans de trop, dix ans trop tôt, tant nous séparait, mais tes yeux sont si beau quand le plaisir t'envahissait.
Alors je suis parti à ta poursuite, a travers les camions poubelles des cités, a travers les champs et les allées sombres.
D'hôtel en hôtel, de chambre en chambre, de femme en femme.
Je t'ai retrouvé assise sur une pierre, à siroter une bible que tu étais.
Pauvre Melody Lemon.
J'ai eu beau faire à tant sortir de tes pensées.
C'était trop tard
Tu en avais de l'amour.
Melody Lemon.
Tu en avais des tonnes.
Tu avais à peine quatorze automnes quand tu es partie.

Je referme la porte.
Adieu Melody Lemon.
J'ai menti.
C'est moi qui suis parti.

Le katana des 4 serpents par Luna

Pulpe, Hémiplégie, Viscères, Katana, Aréoles

Un jour, un jour sombre.
Un jour chaud et humide.
Dans la moiteur des transpirations saccadées.
Les assauts des moustiques, les voilures d'une moustiquaire.
Une jeune femme rêvait.
Ses seins se raidissaient sous la fine brise qui haletait en alternance
Ses aréoles devenait plus petite, ses tétons pointaient sous les stries bruns de son mamelon.
Elle regardait sa poitrine généreuse, spectacle de son corps érectile.
Ses viscères à l'écoute du moindre signal.
Elle sentait ses veines gonfler sous la chaleur, ses mains se balançant mollement.
C'est dans cette atmosphère qu'elle sentit une main puissante la happer sous le lit.
Elle résistait, étouffait ses cris, se disant qu'elle ne devait réveiller personne. Sentant qu'elle seule pouvait percevoir cette main, sentir cette ombre puissante.
Elle fut prise d'une hémiplégie de la partie gauche de son corps.
Elle se raidissait dans une convulsion étrange.
Elle pensait à son cœur, son cœur était enserré par cette même main.
Elle sentait monter en elle un orgasme jamais rencontré alors.
Elle allait partir.
Elle sentait qu'elle devait lâcher-prise, laisser cette étrange créature s'emparer d'elle
Elle lâcha... s'ensuivit l'obscurité. Les couloirs à n'en plus finir.
Elle était dans un labyrinthe, les portes avec des numéros. Elle cherchait, presque instinctivement, le chiffre 4.
Elle devait franchir la porte numéro 4.
Seule celle ci pouvait la sortir d'ici.
Alors dans son crâne, des images, des serpents, des entités qui la dévore.
Elle sait que ses chairs seront mangées.
Elle laisse faire.
Quand les créatures la mangent elle se reconstitue d'autres chairs, état perpétuel.
Elle continue cependant son cheminement.
Elle erre, tangue, chavire de porte en porte.
Elle découvre des mondes plus étranges encore. Des mondes qui racontent d'autres histoires, même si ce sont les mêmes.
La porte numéro 4.
Elle la voit, devant elle.
Elle ne la franchira pas ce soir, pas encore.
Elle sait sa présence, sa fin.
Voilà, son histoire se termine ainsi.

Ciel mon mari par Swan

papillon, souplesse, fermeture, éclair, patinage, soleil

Elle jette son lourd sac rouge à terre et s'étale sur son canapé râpé, épuisée de son week-end.
Quel week-end ! Elle n'aurait jamais imaginé un week-end plus torride que celui qui venait de s'achever ! En ouvrant la fermeture éclair de son bagage, elle repensait à comment tout avait commencé, non sans quelques papillons dans le ventre! Elle se sentait gamine, elle l'était et trouvait ça amusant, à son âge ... à leur âge !
Elle lança machinalement une lessive. Sans réfléchir ... ailleurs... elle est encore là-bas, lui aussi.
Que fait-il ? Ya t il du soleil ?
Elle s'en fichait. Elle préférait penser aux week-ends à venir, et pourtant des week-ends comme ça, elle n'était pas prête d'en refaire ! Son mari se doutait de quelques choses. C'est avec souplesse et délicatesse qu'elle préparait ces escapades crapuleuses.
Que pouvait-elle trouver, pour la prochaine fois !
Etre professeur de patinage artistique lui aurait offert plus de possibilité.
Elle est femme au foyer !
Elle trouvera.

La couleur des plaisirs par Boulègue (version touze avec Loki et LuNa )

étranglement, forniquer corail, clitoris, perle et braise

Loki s'assoit a coté de Luna pour écouter le saturnien

LuNa se love tout contre

Loki caresse les fesses de Luna pour se mettre dans l'ambiance

LuNa frissonne

Planète Cryon, plaines duveteuses, monts érectiles, où partout, dans les villes sous dômes, la fête des sens est tactile.

Loki se sent tactile

Dans Cormona, la sainte, la religion est le sexe.

LuNa se sent sous dôme.

Et les prêtresses s'enivrent sans aucuns complexes. Les temples d'or, où la populace en toge vient forniquer sur des sols de marbre, les corps viennent s'enlacer.

Loki tente de glisser sa main vers les monts érectiles de la lune

LuNa se sent érectile tout à coup

Masculins et féminins ne peuvent avoir que le choix

LuNa se sent prêtresse ce soir

De se mélanger sans savoir d'où proviennent ces émois. Le grand prêtre est beau, glabre, noir, musclé, et nu, il tend aux prêtresses la sève de son sexe distendu. Des milliers de femmes se pressent pour en recevoir quelques gouttes pour se sanctifier dans une folie sensuelle en déroute. Son vit tendu, lâche une semence hallucinogène. Elle se prend comme une crème, un remède à la morosité et à la gêne. La folie prend alors les femelles qui déchirent leurs toges légères. Elles se donnent à tous, la croupe offerte aux assauts sévères.

Loki pince un bout de sein de la lune pour la sortir de sa torpeur (et lui signifier qu'elle bave la)

LuNa gémit un petit coup et gifle Loki

Que les mâles donnent en saccades brutales où se mêlent la sueur, coït brutal, où la fureur devient douce saveur, et les femelles gémissantes, endiablées les poussent à plus d'ardeur de baise.

Loki saisit la lune a la gorge
Leurs seins sont gonflés, leur sexe, bouillonnant, humide braise.

LuNa regarde Loki de ses yeux couleur or

S'ouvre en accord de l'harmonie qui venant des voûtes.

Loki plaque sa main entre les cuisses de la lune tout en écoutant saturne.

Enfièvre davantage les corps, engloutissant tout doute.

LuNa caresse le sexe tendu sous le pantalon de Loki
LuNa écoute le conte avec frénésie.

Quand la mélopée change, et se fait douce, les mains mâles s'immiscent.

Loki glisse sa main vers la fente bouillonnante de la lune et le laisse engloutir ses doigts un à un.

Et viennent délicatement jouer, avec la perle rose du clitoris.

LuNa se laisse faire.

Les langues alors se font féroces, roulent comme des démons.

Loki se laisse guider au rythme du conteur.

Laissant des sillons moites parmi les fentes et les toisons

LuNa s'étend sur le sol, des convulsions l'assaillent.

Les glands gonflés de sperme ne sont pas, non plus oubliés.

Loki dénude l'astre et la regarde se contorsionner sous les assauts de ses caresses.

Et des bouches voraces, viennent y chercher l'élixir prêt à gicler

LuNa va jouir

Les bras se meuvent, se prennent s'attirent, et parfois dans un étranglement, un cri sauvage multiplié par mille vient faire résonner le marbre sauvagement.

Loki joue avec la face cachée de l'astre.

LuNa retourne Loki sur le sol, les deux poignets contenus
LuNa le baise violement.

Les prêtresses chevauchent en furie leurs étalons, en secouant leur rouge chevelure

Loki aime bien ce conte

LuNa pose ses lèvres sur sa bouche
LuNa aussi

La tension monte, éclate, et vient vibrer en intense luxure.

Loki se refuse aux baisers de la lune, et joue avec son désir.

LuNa prend Loki à la gorge.
LuNa commence à serrer dangereusement.

Loki déguste l'emprise de la fente lunaire sur son sexe.

Le temple s'ouvre alors, et le ciel apparaît, illuminant l'orgie vaille que vaille.

Loki étouffe et rend la pareille à l'astre.

LuNa lâche prise

Le soleil mourant reprend des couleurs et redevient une boule de corail. Alors le grand prêtre, le sexe à la main, vient déposer une goutte de sperme sur les langues tendues.

LuNa serre très fort avec ses jambes.

Loki cale la lune contre son torse en lui saisissant les cheveux, ses coups de reins se font de plus en plus violents.

Il sanctifie, ainsi, les couples harassés, échevelés, heureux, souillés, enfin au plaisir parvenu.

LuNa va défaillir
LuNa monte lumineuse et volcanique

Loki enfonce sa langue dans la bouche de Luna.

La messe est dite, les coïts ont sauvé la planète, les couples, les trios, les groupes se séparent.

LuNa lui donne sa langue.

Loki jouit violemment au fin fond du sexe de la lune.

LuNa jouit au même instant.

En souriant se rhabille, s'embrassent, rient, et lentement retourne dans leurs maisons noires

Loki soupire : quel joli conte

En attendant le jour du grand foutraillement, dans 3 jours, où les sens s'embraseront.

Loki rebande doucement a l'intérieur de la lune.

Une fois de plus, pour faire revenir la joie des corps et au soleil, sa belle couleur vermillon.

LuNa le sent, elle entame un va et vient léger.

Fin, mais je vous laisse finir.

La couleur des plaisirs par Boulègue

étranglement, forniquer corail, clitoris, perle et braise



Planète Cryon, plaines duveteuses, monts érectiles, où partout, dans les villes sous dômes, la fête des sens est tactile. Dans Cormona, la sainte, la religion est le sexe. Et les prêtresses s'enivrent sans aucuns complexes. Les temples d'or, où la populace en toge vient forniquer sur des sols de marbre, les corps viennent s'enlacer, masculins et féminins ne peuvent avoir que le choix.
De se mélanger sans savoir d'où proviennent ces émois. Le grand prêtre est beau, glabre, noir, musclé, et nu, il tend aux prêtresses la sève de son sexe distendu. Des milliers de femmes se pressent pour en recevoir quelques gouttes pour se sanctifier dans une folie sensuelle en déroute. Son vit tendu, lâche une semence hallucinogène. Elle se prend comme une crème, un remède à la morosité et à la gêne. La folie prend alors les femelles qui déchirent leurs toges légères. Elles se donnent à tous, la croupe offerte aux assauts sévères que les mâles donnent en saccades brutales où se mêlent la sueur, coït brutal, où la fureur devient douce saveur, et les femelles gémissantes, endiablées les poussent à plus d'ardeur de baise. Leurs seins sont gonflés, leur sexe, bouillonnant, humide braise s'ouvre en accord de l'harmonie qui venant des voûtes, enfièvre davantage les corps, engloutissant tout doute quand la mélopée change, et se fait douce, les mains mâles s'immiscent Et viennent délicatement jouer, avec la perle rose du clitoris. Les langues alors se font féroces, roulent comme des démons. Laissant des sillons moites parmi les fentes et les toisons. Les glands gonflés de sperme ne sont pas, non plus oubliés et des bouches voraces, viennent y chercher l'élixir prêt à gicler.
Les bras se meuvent, se prennent s'attirent, et parfois dans un étranglement, un cri sauvage multiplié par mille vient faire résonner le marbre sauvagement. Les prêtresses chevauchent en furie leurs étalons, en secouant leur rouge chevelure. La tension monte, éclate, et vient vibrer en intense luxure. Le temple s'ouvre alors, et le ciel apparaît, illuminant l'orgie vaille que vaille.
Le soleil mourant reprend des couleurs et redevient une boule de corail. Alors le grand prêtre, le sexe à la main, vient déposer une goutte de sperme sur les langues tendues.
Il sanctifie, ainsi, les couples harassés, échevelés, heureux, souillés, enfin au plaisir parvenu.
La messe est dite, les coïts ont sauvé la planète, les couples, les trios, les groupes se séparent en souriant se rhabillent, s'embrassent, rient, et lentement retournent dans leurs maisons noires.
En attendant le jour du grand foutraillement, dans 3 jours, où les sens s'embraseront, une fois de plus, pour faire revenir la joie des corps et au soleil, sa belle couleur vermillon.

Fin, mais je vous laisse finir.





Ce conte est superbe

*mis en ligne sur les parchemins*

J'ai doté le conte de Boulègue d'un joli sticker "parental advisory explicit lyrics", ça me fait marrer. Pour la version "touze"de Luna et du gnome, je la laisse sur le forum, le forum ça sert de goodies aussi.