Jeux de maux (de tête)

N'oubliez pas le mot quand même ^^

j'aivais besoin d'y réfléchir longuement
<camionette>

*Schklong*
*futt futt futt futt futt*
-"Gniiihhhh!! "
*fuuut fuuut fuuuuut fuutt fuuuut*
-"Gnn"
*Schklong*
…

Un homme habillé d’un costar blanc, une cravate violette pendouillant, sorti de derriere le mur de taule du hangar, il s'appuya à l'un des pillier et tira sur son cigare avant de lancer:
-" T’es lent Sergio, si Il te voyait faire Il te reserverait un sale sort. "

Essouflé, l’homme qui chargeait le camion eu peur l’espace d’un instant, avant d’appercevoir la sombre silhouette de Toni.
-" Putain toni, tu m'as fait peur, refais jamais ca imbecile, t'es là depuis combien de temps?"
-" Assez pour savoir que tu finiras pas dans les temps, j'espere pour toi que la police ne se pointera pas d'ici là." Et disant ca il eteignit son cigare sur la portiere du camion garé à l'interieur avant de le ranger dans sa poche de veston.
-" Tu fais vraiment chié toni, je viens de le nettoyer ce camion, c'est pas pour que t'y foute tes pattes de croquemort, aller aide moi plutot à charger les cartons."

Toni fit mine de ne pas l'entendre et approcha tranquilement les main dans les poches
-" Tu sais que le grand patron n'aime pas les retard, moi je vais pas pouvoir t'aider, je suis le cerveau tu vois, toi t'es les bras, alors vas-y brasse et oublie pas de te depêcher, l'aube va finir par nous surprendre."
Sur quoi Sergio lacha quelque grognement avant de lui répondre d'un ton amusé
-"N'empêche il me fait marré ce type, il faut qu'on l'appelle grand patron, il a vraiment le sens de l'humour cet imbecile."
-" C'est c'et imbecile qui nous paye alors magne et arrete de discuter."
Sergio mis une heure de plus à finir le chargement, ils embarquèrent ensuite dans le camion et la route commenca à defiler.

-"hé, toni, Tu sais ce qu'il y a dans ces putain de cartons? Je me suis niqué l'epaule à les porter. Ya quelque chose de vraiment pas net avec ce camion et cette marchandise de merde. Cette histoire pue je te dis... »
-"héhé, t'as peur espece de brute? Je croyais que rien ne te faisait peur à par les sandwich au crabe de ta grand mère.»
-" Putain, t'es lourd je t'avais dis de pas ramener cette putain histoire, ca me fous vraiment les boules d'avoir à te le repeter..."
-"C'est bon, calme toi p'tit frère, on est bientot arrivé.»

Le camion déboucha sur un chantier abandonné, entouré de pallissades de en bois.
-"Mission accomplie sergio, on a plus qu'a les appeler et à rentrer à pied, le reste de la paye ne tardera pas à tomber ensuite.»

Alors que nos deux amis descendaient du camion, apparut, net et clair, dans le lointain horizon flamboyant d'un jour sur le point de naitre, une silhouette.
Se détachant de tout autre chose elle avançait d'un pas lourd et precis sur la poussière de la desolation environnante.

Toni fut le premier à la remarquer il se depecha de prendre son telephone de composer le numéro.
-"Chef! Chef, c'est lui! je le vois il arrive!"
On entendit ensuite un gros gresillement, suite à quoi Toni du se contenir pour ne pas s'enerver
-" oui, bien sur, Grand Patron, je suis désolé je ne le referais plus."
Des gresillements plus leger s'echapèrent de l'appareil
-"Le justicier est la chef, il viens nous botter le cul une fois de plus."

L'ombre chevaleresque de notre héros n'avait de cesse d'avancer vers le camion seul point net au milieu de ce desert de roche et de sable. Eclatant d'un halo de lumière pure il n'était bientot plus qu'a quelques dizaines de metres des deux hommes de mains et là, il s'arreta leur faisant face de toute sa puissance.
Le vent souffla créant un nuage de poussière qui monta dans le ciel avant de s'aplatir sur la rocaille des environs.
Au loin, on commencait a entendre le frottement characteristique des pales d'un helicoptère sur l'air.

-"Enfin il vient à moi." murmura le justicier tout puissant.

L'helicoptere fini par arriver pour se poser derriere le camion.
-"Hey, Toni, tu crois que c'est le grand patron?"
Toni ne répondit rien, il essayait de distinguer au travers de ce torrent de poussière et de sable soulevé par l'helicoptère. Doucement, le contour de l'appareil se dessina et petit à petit l'épais nuage se dissipa, le camion, net autrefois était désormais recouvert d'une enorme couche de poussière.

Et, enfin, Il apparut. Là. Celui qui se faisait nommer le grand patron, il faisait face à notre justicier sans peur et sans repproches.
-"Je crois qu'on est fichu Sergio"
-"Putain, attend j'ai envi de voire ce gnome se faire marrave."
-"Laisse Sergio, on se casse c'est plus prudent"
Et les deux comparse prirent la fuite.

De l'autre coté se deroulait un duel titanesque.
Celui qui se faisait appeler le Grand patron de la pègre, un gnome pervers armé d'un couteau suisse, nous l'appeleront désormais "le vile mechant".
Et celui que l'on connaissait sous le nom du vengeur de la veuve des orphelins, notre héro legendaire des foyers qui sera nomé humblement, l'ultime Super héro des legendes oubliés.

Aprés s'être observé un long moment, le le vile mechant attaqua, lachant toute sa rage dans ce coup il s'ecria :
-" c'est l'histoire de toto et de la fée jambon alors ya toto qui...
Mais avant que celui-ci ne pu terminer sa blague, l'ultime Super héro des legendes oubliés fit trois des signes kabalistiques complexe qu'un moine plagiste lui avait apris et invoca la protection divine:
- "BOUCLIEEEERRRR MAAAGIQQUEEEEEE!!!! protege moi des blague de toto de mon adversaire, pour le bien des petits enfant qui meurent dans le monde s'il te plais petit jesus!!"
Match nul, Personne n'avait pris l'avantage.

Le combat dura pleusieurs heures.
On raconte que par chance personne ne fut pris dans le tumulte de la battaille, car les techniques utilisées par ces deux personnes étaient d'une telle puissante, utilisant tout les secret de la vie, envoyant toute leur force astrale, atteignant leur 72 eme cosmos, aurait anéanti le moindre esprit doué d'une intelligence superieur à celle d'une carotte.
Et la fin me dirait vous?

Selon certains le champion de lumière vaincu l'abject gnome de l'enfer d'une prise de karaté un peu comme dans mortal combat vous savez là le finale blow, "finish him" et compagnie...enfin bon je m'egare. Mais ce ne fut pas terminé pour autant, notre hero avait malheureusement lui aussi sa part d'ombre. Et c'est ainsi que notre karatéka mi-honnête, mi-truand s'empara de l'entière cargaison de haribos de contrebande pour s'en repêtre et finalement mourir d'une atroce indigestion.



( pas evident camionette quand même ^^)

[sempiternelle]

un jour une petite lune, recouverte de détritus se rapprocha dangeureusement de la planête Nelle qu'elle satellisait, son odeur incommoda cette dernière, qui s'exclama : - vire de là, tu pue lune !

l'autre lui répondis : Et encore quand j'ai mon cycle , je sens pis terre Nelle !



grommeler

le XV de Saint glinglin jouait les dernières minutes de la finale,
les voilà près de la ligne avec l'obligation d'égaliser sinon le rêve s'écroulerait après les doutes, les joies et les sacrifices
... un sifflement dans l'air,
le ballon remis en jeu
tout allait se jouer dans la poussée de ces gros mêlés!

<éditer>

un journaliste s'approche de la petite grande dame en noir, elle le reconnaît c'est celui qui s'était moqué de son Marcel dans une rubrique sportive, elle cherche à l'éviter, il tente de se rapprocher, alors le directeur de l'olympia, voyant la scène, essaye pour proteger le spectacle d'éloigner le plus possible ce qu'édith hait....

un mot que diable un mot pour que la farandole d'andouille ne s'arrête pas lâ =)

oh pardon, oups j'ai oublié
alors un dur :

arachnéen

Ô toi, puissant Dambala
Par ma bouche j'éructe tes paroles interdites
Ft'hui Trou Dambala
Pnui Gni Dambala
Que la terre vomisse ses enfants
Peuple guerrier
Porteurs de morts!
Grouillez à la surface
Multipliez vous
Ô fils putrides et sages
Vous!
Ô rats chtoniens!
Répandez la peste A travers le monde
Fnui Gnui Dambala
Drebégné
Drébégné

- Extrait du Livre des Morts de Abd'almiqué Mahousse


hop >>limitrophe

Ba moi j'aime pas le rap,
nan j'aime pas ça, le rap c'est naz
bon limit roff ça peu aller et encor, parceque falais le palcer
mais sinon j'aime pas le rap

dynamomètre

Cette chasse au Snarcks avait épuisé Alice. Elle était bien contente d’etre revenue sur cette barque glissant indolement sur l’eau calme et lisse. Le reverend Dodgson avait cesser de ramer, il regardait la jeune fille dormir avec son petit chat sur les genoux. Et a propos de chat, seul les poisson de ce type venait troublé , mais de facon toute relative, le calme de cette scene. De facon toute relative certes, mais suffisemment pour reveillé Dina. Le petit félin avait bien remarqué le manège de ses congénères a nageoire. Lorsque tout le petit monde de la barque fut endormi, il sauta a l’eau pour rejoindre les poisson chat. Dina arriva rapidementau fond de l’eau. Il vit alors que les poisson chat avait construit une immense statue a son image.
Le chaton se retourna. Le roi des poisson chat se tenait juste derrière lui, sur sa vieille canne de roseaux.
" Dina, mon Maitre ! Je suis bien vieux, et je ne pourrai bientôt plus gouverner ces eaux. Mon peuple de te vénère toi qui peux vivre a la surface. Je t’en supplie, quitte les humains et devien l’empereur de ces eaux. "

Pendant ce temps là, à la surface, Alice se reveillait. Elle s’apperçut bien vite de la disparition de Dina.




Brumisateur

Ze vais vous raconter l'hiftoire du feigneur des zanneaux.
Z'ai lu fe bouquin trop de fois,que v'en ai mal zau crane. Mais bon, comme dirait mon grand-pere, vaut mieux lire qu'écrire, zau moins tu te fatigues pas le poignet. Bref, f'est l''hiftoire de trois niomes, des zobbit, bref des gniomes quoi. Et zy partent pour veter un ftupide anneau dans zun volcan.
Y a plein de méfants et tout et tout. Mais y zarrivent za f'en fortir. Mais zen fait l'anneau est maudit.
Par ekvemple, à un moment donné (bon za la fin y fen fortent hein, y gagnent quoi).
Breffe, à un moment pour vous montrer que l'anneau zé maudit, un de leurs compagnons veut f'en emparer pour etre fuper fort. Boromir qu'il f'appelle fe couillon. Mais bon vala, fet imbéfile ben y fini par crever comme une nouille.
Bref tout fa pour dire que Boromir za tort quand y veut voler l'anneau..
Enfin moi ve trouve, vu qu'il meurt za la fin (enfin il meurt meme pas za la fin en pluffe).
Trop nave fe Boromir

zozoter

On raconte de nombreuses choses sur eux.
Mais on ne sait toujours rien malgré toutes ces histoires.

Les choses à savoirs sont beaucoup trop compliquées pour que ceux qui ne les connaissent pas puissent les apprendre et, surtout, puissent les accepter comme verité.
De plus il y a si peu de chose à ne pas connaitre, que les gens s'y focalisent.
On ne sait pas.

On ne sait pas, même ce que l'on sait d'eux.
Ca n'existe pas, ou alors c'est tout juste les illusions chimériques d'une folie passablement consommée.
Delires et divagations, souffles psychotiques d'esprits faibles, emporté par leur doutes dans le puit de l'inenarrable. Verités sourdes, dont l'écho est avalé par ces singes aux certitudes proéminentes qu'ils exposent tel des organes genitaux qui feraient leur fierté.
La soupe et fade. Mais la verité, elle, est amère et bien souvent on prefere rajouter le sel du quotidien aux mets de nos vie. Veritable psychotrope à l'effet immediat.

La faiblesse explique mais n'excuse rien.

Alors eux, sous leur grands manteaux, il rient de nous, de nos certitudes et de nos petites suffisances ballonées.
Sous le couvert d'evidences, il s'offrent l'anonyma d'exister. Et quand parfois ils osent ôter leur masque, c'est comme une balle qui transpercerais l'esprit compacté et contris des personnes présente, déchirant sur son passage l'ensemble des verités grivoises sur lesquel ce séant fort charnu s'était posé de tout son poid.

Vlan!

On tombe.

Et ceux qui se relèvent sont des fous, de simple fous qui on osé détacher le ruban rassurant qui autrefois protégeait leur regard...

[Funambule]

Jones pénetra, au prix de mille efforts, haletant et déshydraté, dans la chambre aux trésors.
Au centre d'une montagne de richesses fabuleuses, se trouvait un autel sur lequel une simple bouteille reposait.
Sur l'étiquette de la bouteille était inscrit en lettres d'or:
"Je suis l'Eau. Me boire en totalité réduirait instantanément la planete en un désert aride et mortel."
Jones hésita un instant... Prit la bouteille, s'en fut...n'en but la première moitié que pour s'en assurer, puis l'autre moitié parcequ'il était maintenant absolument certain d'être un chieur...


[Tergiverser]

"Christophe Colomb a découvert les sauvage. C'est bien pour ça qu'ils sont tout nus."
Victor Hugo, le soir où, torché à l'absynthe nous gratifia de cette superbe blague dieudonnesque et lovecraftienne avait pourtant oublié un détail. A l'excitation sans précédent du navigateur devant la découverte de l'âme d'Eric, s'ajouta une humidité peu commune. Oh je vous vois venir, mais non. Cette humidité avait pour origine les cieux et non le bas ventre comme certains petits pervers s'imaginent. Pourtant, cette ondée reçue sur le crâne n'est pas le fait de nuages capricieux qui auraient gaché ce doux et agréable voyage de plaisance dans les mers caraïbéennes. Non!
L'histoire est farçeuse quelques fois. Et ainsi, le mat de la douce Santa Maria était pourvu d'une acoustique minable. La vigie, perchée tout en haut de la caravelle avait pour mission la suivante : Lorsque l'autre coté du monde serait en vue, il lui fallait jeter le contenu de sa bouteille sur le pont, là-bas, tout en bas. Et surtout pas dans la mer, car une bouteille à la mer ca se perd, surtout que dans la mer y a de la friture et on ne comprend rien (d'autres ajouteront que la mer c'est dégueulasse, les poissons baisent dedans. Et ils n'auront pas tout à fait tort).

Et le jour J arriva! "Terre! Terre!!" s'écria la vigie que personne n'entendait. Il se rappela a lors les consignes et se dit alors en lui-même la phrase que l'on retrouve dans les livres d'histoire :
"Terre. Je verse, hey!"
Plus bas, notre Colomb (cancer de son signe astral) passant alors par là, reçu alors une bonne rasade de vinasse espagnol de mauvais cru, découvrant ainsi l'Amérique et réinventant du même coup le gag du seau d'eau (gag déposé par un certain Gomorrhe).

La suite, nous la connaissons. Christophe devint riche et s'installa dans le beaujolais pour prendre une retraite bien méritée à l'ombre des bananiers où il composa le fameux tube "Et j'ai crié, Aline... pour qu'elle revienne".


[Moquette]

Quand il arriva au pays des trolls faceurs, troll aventurier dût résoudre une enigne pour passé la grande porte en bois, sinon il ne pourais pas allé chercher la cuvée d'or... Les mots d'la quête étaient les suivants:
Qu'est ce qui est mieuxque dieux; pire que le diable, les pauvres en ont, les riches en manque, et si tu en mange tu meurt...
Le troll aventurier resta perplexe, quand soudain il eu une illumination... Il prononca le mot magique, et pénétra dans la forêt où l'attendai encore beaucoupd'aventure avant d'ateindre son but ...


( labyrinthe )

Que ne furent pas malvenues les premièrent lueurs de la nuit.


Alors que paissait tranquilement le troupeau de lievre daltoniens, au loin, on ne vit pas arriver le sombre eclat de lumières invisibles. Indolentes patentes, elles accompagnaient le terrible chasseur de loutre:
Tom Mc Kan, seigneur de la colline du Nord!

Marchant d'un pas immobile dans l'herbe grisonnante une ombre flamboyante lui faisait face. Au travers du rideau brumeux d'algues de vapeurs on put dicerner le visage de l'impitoyable sergent Hu Yu Siee, caporal en chef des armées du marais du sud, Colonel des âme du champs de moutarde et fervant defenseur des droits de la Loutre.


A l'issue de cette nuit il ne resterait plus que cendres et desolation de ce desert verdoyant. Il ne pouvait en être autrement.
Déja la nature autour d'eux s'était arretée.
Poux, crabe, autruche!
Tous regardaient ces deux héros legendaire s'approcher l'un de l'autre.
Concombre, sardine à l'huile, chili con carne!
Personne ne manquait à l'appel. Le duel qui allait changer la face de l'univers allait bientot se dérouler sous leur yeux ébahis.

Tom Mc Kan fut le premier a avancer, sa botte plongea dans une flaque de vase, mais Tom Mc Kan avait l'habitude et n'esquissa pas la moindre esquisse, exquise parade qui recuse toute tentative d'attaque surprise.

Hu Yu Siee Fit de même, avancant d'un pas leste dont la lourdeur faisait trembler jusqu'au feuilles qu'il ecrasait.

Les deux Hommes étaient entourés d'une aura de mystère qui les rendait etrangement mysterieux. Leur regard se perdait au loin et pas un seul battement de paupière ne fut de trop. Les deux Héros atteignaient l'equilibre parfait à chacun de leur geste.
Ils marchèrent, marchèrent encore jusqu'a pouvoir se toucher l'un est l'autre. A porté de bras il n'eurent pas un mouvement, pas un cillement. Rien qui ne put trahir leur intention. Il restèrent impassible au point de se croiser sans même s'appercevoir.

La nuit, une fois encore, avait rendu la vision bien difficile, et ce soir, comme tout les autres soirs...rien ne se passa. Le dénouement tant attendu resta en suspend et les giraffes, les blatte et les hannetons reprirent le court de leur vie.

Nos deux legendes vivantes firent halte dans un bouge paumés où ils commandèrent une bière.
Chacun d'eux savait qu'il devait retourner sur le champs de bataille pour en finir une bonne fois pour toute. Ces deux personnages finirent alors la bière, un thé et une banane que leur avait offert les autochtone et repartirent accomplir leur destinée.


Mais alors que nos deux heros allaient se rencontrer, que ne furent pas malvenues les premièrent lueurs de la nuit...

[Glycerine]

Il regardait ce corps allongé sur la table, droit, blanc et froid. Il ne l'avait pas fait depuis longtemps et ça lui manquait terriblement. Sentir la chair d'un corps sans vie sous ses doigts, l'examiner, le palper puis l'ouvrir était ce qu'il aimait le plus au monde.
Après un examen complet, il approcha ses instruments fétiches qui caressa doucement:

"Coupe scalpel, coupe net et droit", " Si tu glisses érine, je serai très déçu" ...

Il parla ainsi à chacun de ses instruments puis s'en alla quand il eu fini. Ce fut sa dernière autopsie.



" Califourchon "