Jeux de maux (de tête)

Concept inédit!

Le principe est simple:
Un mot est lancé, Le premier qui trouve un jeu de mot à partir de ce mot à le droit de lancer un nouveau mot. (ca fait beaucoup de "mot" du coup)

On accepte tout, plus c'est tordu mieux c'est. Le trophée de la porte d'or sera offert aux plus valeureux deviants.

Qui va prendre la porte?

Souvenez vous eric et ramzy dans leur explication de mots, et montrez nous que vous avez de l'imagination!!


( petit exemple:
mot -> Barbie

- "Salut, dit moi ca te dit d'aller au delmon ce soir? "
- "non, moi j'aime pas les bars bi."

[sardine]


- "Bonjour, je viens voir le Prince Boris Godounov."
- "Ah non ca va pas être possible."
- "Mais j'ai un truk urgent a lui mander."
- "Je suis désolé mais c'est impossible."
- "Mais pourquoi donc cela?."
- "Le Tsar dine."

etc...
)




Et le mot de ce soir est ........

[Pasteque]

Bon je me suis creusé la tête pendant pres de 30 minute, et j'ai rien trouvé de valable
Bon courage aux autres, mais moi je ne joue pas a ç'te connerie.



[Péniche]

- Cherie je peux mettre mon péniche dans ton steak?
- Non ce soir pasteque..

(Hou que c'est mauvais)

Nouveau mot? (bicyclette)

- "Qu'est ce que tu fait avec ce marteau?"
- "Ben je Tune mon frisbee pardi!"
- "Avec un marteau? mais t'es pas malade toi?"
- "Ben quoi? Regarde j'ai déja incrusté un os de dinosaure dedans!"
- "C'est un os de lapin ca."
- "Ouais un lapin dinosaure je sais."
- "...si tu veux...et sinon comment t'as fais ca?"
- "Comme ca regarde"
*Met des grand coup de marteau sur le frisbee pour incruster l'os*
- "Et bien... t'as pas peur que ton frisbee s'éclate toi"




voila, tout est dit.
[étagère]

Il est bien connu que le "renard du desert" était friand de jus de vache, tous les matins, son caporal avait pour mission de lui trouvé cette boisson opaque et blanche pour le petit dejeuner de ce cher Rommel.
Hélas dans le désert, les vaches sont rares, et par défaut le Caporal chargé de l'intendance se rabattait souvent sur des chevres (tradition qui se perpétua d'ailleurs dans notre belle légion, mais ceci est une autre histoire).
Ainsi tous les matins, on pouvait entendre dans la tente de l'état major, lorsque le caporal servait le petit déjeuner de son supérieur :
"Voilà votre laitage Her Maréchal!"


(terrorisme)

-Ce soir dans "Ca se discute", Jean-Raymond Bugnou. Jean-Raymond est agriculteur. Dans son terrain de la vallée du Rhône il cultive blé, orge et maïs transgénique. Bonjour Jean-Raymond.

-Eul bonjoul'

-Jean-Raymond, l'Etat Français a décidé de venir en aide à certains demandeurs d'emplois. Ces anciens faucheurs sauvages, parallèlement alter-mondialistes, néo-baba-cools et en général issus des familles BoBo de la capitale, écoutant du reggae et élevant des oiseaux dans leur appartement, vont vous aider à cultiver votre terre sans avoir recours aux engrais, pesticides, et autres plantes génétiquement modifiées, certes innofensives sur la santé à court-terme, mais pouvant provoquer la mort par cancer de l'estomac aux alentours des 90 ans. Vous avez un avis bien tranché sur la question...

-Ah ben dam' ça... tous ces altermondialiste, et euss'mostachu lo, eul Bové, c'estoyons eul instrument eud'diab' tout ça. Moi à leur age, je lambinais po, j'estoyons à quat' pattes dans eul purin pour nourrir eul cochon. Moi vivant l'est po question que euj'donne ma terre aux rmiste. Jamais !


[Autodafé]


Freg'

L'histoire s'encombre quelques fois de petites anecdotes amusantes. Hélas, elles sont rarement complètes se qui est bien regrettable.
Souvenez vous de Marie-Antoinette proclamant à l'égard du peuple, que ce dernier n'a qu'a se mettre à la brioche..
Se retournant alors vers la duchesse de Bretagne, levant sa tasse de Ginseng (importé à l'époque dans ce cher hexagone par le comte Elephant), elle conclue alors sa théorie viennoise (riesque) en s'adressant de la sorte à la duchesse claudiquante :
"Santé à vous, cher duchesse, et sans thé aux autres!!"

Cette dernière répliqua alors :
"Oui... les autres, au café! "



(champagne)

les jeu de mots avec barbie c'est bien jolie,
mais encore faut-il en respecter les klauz

après avoir rompu les clauses, je reviens tête baissé plein de respect pour continuer la chaine, tout comme le sauvage s'étant promené cham pagne, pouvait revenir dans le droit et pudique chemin de la vertu en partant dérober celui du chef d'un village voisin.



(introduction)

'Un jeune et gentil gamin deviendra un trouduc' si on ne prend pas la peine de l'élever correctement '


[omelette]

To be or not to be, that is the question.
-Shakespeare, Omelette



(Frivolité)

dans cette rue d'où émane l'odeur de quelques viandes roties, il y avait bousculade à l'heure des repas. Chacun profitant du beau temps pour se restaurer à la terrasse de ce restaurant oriental.
Les faubourgs de la ville regroupait une communauté de migrants venu faire leur fortune auprès de cette parente de babylone.
Les autochtones les connaissaient pour leur cuisine bon marché et leur parler qualifié de 'verlant'.
Tendant l'oreille aux abords de la sandwicherie, on pouvait entendre le tolier demander à un client té li vo fri les oignons ou pas?

<nombrilisme>

Tant d'hommes sont morts au Panama pour creuser ce canal qui relierai enfin le monde a lui meme...
Tant de de rèves et d'espoirs se sont brisé face à ce défi surhumain, oui!!! à la conquête de la nature!! La démesure de l'entreprise en a fait reculer plus d'un. Et alors que le pays était à moitié déchiré par les machines, que les eaux s'engoufrraient alors sur la moitié du pays, et dont les reflet brillants traçaient aux yeux des voyageurs aéroportés une ligne de lumière entre les deux amériques, quelqu'un baissa les bras, jurant qu'il était impossible d'aller plus loin, que le canal ne serait pas, que c'était chose impossible....
Et soudain une énergie insoupçonnée l'envahit, il s'exclama soudain :

"Non! Brille Isthme!!!"

Quelques semaines plus tard, un simple remorqueur franchissait l'étroit chenal séparant les deux océans. L'oeuvre titanesque était enfin accomplie...

(fariboles)

Je m'en vais vous conter l'histoire d'un gnome, oui je sais c'est sale, mais l'histoire vaut le coup je puis vous l'assurer.
Il s'appelait Pim, un gnome plutot doué dans son domaine: les echecs.
Jamais un faux pas, il savait quelles pièces placer à quel endroit pour y parvenir. Et il visait toujours juste! Comme un super don de voyance, Pim enchainait inlassablement les parties et faisait savourer son talent à son entourage qui appreciait de plus en plus ses tours.
Il possédait cette rare qualité des gens qui, sans vraiment le savoir, savent exactement ce qu'il doivent faire, et le font, pour ne pas arriver à leur fin.
On pourrait analyser cela comme une forme d'impuissance extra-sensorielle.

Au dela de simples echecs, ce sont bien plus des oeuvres complètes d'arts moderne qu'il accomplissait, quoique le fait qu'elle fussent inconsciente aurait put leur enlevé ce titre...

où en étais-je déja?
Ah oui, Pim donc, maitre dans l'art d'échouer, était souvent accompagné d'amis.
Une longue dame aux charmes autant developpé que ses oreilles étaient pointues les cheuveux au vent en permanence (oui, même dans les taverne) et une battle axe aux coté afin de ne faire qu'un avec la nature, on l'appelait Sislette et elle était bretonne.
Et le formidable bustiers, etincelant de sa grandeur on ressentait plenitude et appaisement en le regardant et le flamboiement astral de sa toute puissance inconstestable, et incontesté, avait de quoi faire plier l'echine de n'importe quel autre dieu, car oui, certains raconte que ce bustier est un dieu, il ne pourrait en effet en être autrement.
Je ne m'attarderais pas plus sur la description de ce merveilleux bustier bien qu'il meritât qu'on lui ecrivasse une ode dont la fin se perdrait dans l'infini.

Pim lui était dans son lit, grignotant je ne sais quels restes d'écorces qu'il avait réussi à recuperer en se ratant lors d'une tentative d'escalade.
Soudain, il eu la visite d'un crâne hyppie deguisé en bizounours, les gens avaient fini par l'appeler aphreudite, surement car c'est ce qu'ils devaient tous dire en la voyant "C'est quoi ca, mais c'est affreux, dites-moi"
Elle lui annonca que l'aventure devait reprendre. Pim s'empressa de s'habiller, il mit ses habit, à l'envers et, ne parvenant pas à crocheter la porte, ouverte, de sa chambre il commenca à faire une corde avec son drap pour sortir par la fenetre. Une fois terminé il sauta par la fenetre en tenant fermement les deux bout de sa corde improvisé.

Nos deux autres compagnons attendaient sur les pavé lustré par les passages saouls d'êtres divers et rampants, juste en face de l'auberge, quand tout à coup un gnome vint s'écraser violement en plein sur un pavé!

Un fou dire se déclancha alors, l'elfette faili s'étouffer en se roulant sur l'herbe du petit jardin, Le bustier lui resta impassible, mais dans un mouvement indicible il en profita pour vider une bouteille d'eau sur le gnome avant lui aussi de s'écrouler dans un salmigondis de rires et moqueries qui en aurait poussé beaucoup au suicide.

Sonné, Pim repris petit à petit ses esprits et voyant, entendant tout cela il se releva, s'épousseta, pris un air sevère et profond et, gonflant la poitrine il tendit le bras à la manière de ces grand orateurs, puis il s'exprima ainsi:
"ah ah ah, fa fous fait rire, et fa ribole et fa ribole, mais fous ferrez, rira bien qui rira le dernier!"
Et cette petite phrase, ponctuée par une explosion phenomenale de rire, permit à l'emphase burlesque d'atteindre son paroxisme, faisait sombrer nos camarades dans une folie joyeuse qui ne pris fin que le lendemain matin.
La mine déconfite, les uns par une nuit trop agité, l'autre par un ras-le-bol kalimero-esque, purent enfin partir à l'aventure.

On dit que le fou rire fut repris un peu plus tard et que tous moururent dans une joie intense, sauf le gnome qui s'était fait manger pas un tabouret qu'il avait ensorcelé en essayant de couper son steack avec son couteau suisse...

Fin

[rhododendron]

merci d'avoir relancé ce forum!

La bataille des dieux faisait rage a hasgard. Les Géants devaient tuer les dieux, cel était écrit. la fin était scellée, mais les dieux, Thor, Odin et toute la clique se devaient de combattre. Ce soir odin devait périr sous les crocs du Loup Fenris. Il le savait. Tout était écrit.
Mais les dieux sont bons vivants. Et avant l'assaut final, ils entamèrent un festin sans précédent, tel la dernière cigarette du condamné, ils se remplirent la panse comme jamais ils ne l'avaient fait jusqu'alors. Cerises confites d'hasgard et Rutabaga en sauce du Valhala. Miam! Quel festin mes aïeux!!
Et puis se fut la guerre, les géants se jetèrent à l'assaut! Tous furent tués! Les dieux et les Géants s'entretuèrent.
Odin, périt bientôt sous les coups de dents acérées du Loup céleste. Tombant à genou, ensanglanté, son estomac en pleine digestion eut le dessus sur une quelconque phrase épitaphienne, Odin, dieu parmi les dieux, expulsa dans un dernier soupir un magnifique rot qui retenti dans tout Hasgard. La guerre était fini....
Et puis le vent porta ce rot jusqu'au montagne, les falaises l'emplifièrent, les grottes lemultiplièrent à l'infini, telles des chambres d'écho magnifique.
Tant et si bien, que le dernier son des dieux empli l'univers et devint maitre d'Hasgard. C'est ainsi que les divinités et les démons quittèrent leur univers, cela est écrit sur les tablettes de R'lyeh....
Et aujourd'hui, le Rot d'Odin trône à Hasgard, il en est le maître incontesté...


(Ribambelle)

"Convention pluriannuelle des aventuriers et chasseurs de trésors experimentés"

C'est devant cette affiche que le petit Hulo s'arreta, les yeux collés à l'écriteau il lisait bien attentivement la liste des invités, en grosses lettres noires était imprimé le nom de l'aventurier le plus en vue du moment: Indiana Jones.
Petit à petit, la foule commencait à se presser autour de la pancarte, et aux rythmes des exclamations de joie et de stupeur c'est une marée humaine qui se deversait à présent dans le parc.
Il faut dire que c'était un évenement exceptionnel, Indiana jones en personne serait là mais aussi Bob morane et Steve Fossett!! C'était assurément un évènement à ne pas rater.


Le soir même de la convention tenue publique, tout le monde était sur les nerfs, on attendait Indi depuis bientot une demi heure...

L'organisateur, n'en pouvant plus, l'appela sur son portable new generation.
- "Allo, monsieur indiana?"

une voix nasillarde lui répondit
- *reniflement* "oui, c'est bien boi"

Quelque peu géné l'organisateur lui posa la question
- "euh, vous vous rappelez, la copnvention de ce soir? Vous étiez sencé venir..."

- *reniflement* "oh, bais où abais-je la tete j'ai oublié de bous prebenir, je de pourrais pas benir, j'ai choppé un rubhe en Belgique, excusez boi bais je suis fatigué, je bais aller be coucher, bonne nuit."
*biiiiip biiiiip biiiiip biiiiip biiiiip biiiiip*
L'organisateur devin vert, il s'avanca vers la foule pour lui annoncé la nouvelle.


Evidement la vraie raison ne fut jamais su, fut pretexté une aventure de la plus haute importance mettant en péril sa vie...

Imaginez que la veritable raison eut été exposé, l'impact sur le petit hulo aurait été telle que jamais on aurait pu le voir à la télé vadrouiller un peu partout à la recherche de quelque chose d'exceptionnel, à la place il serait devenu plombié et aurait sauvé des centaines de foyers de l'innondation...

Meditez bien cela jeunes aventuriers en herbe, Nous somme tous à un rhume d'un grand destin...



[bilvesé]

ps: dsl du temps de réponse, surtout vu la qualité du jeu de mot...

ribambelle geek?

C'est l'histoire de Bill (on annonce la couleur, et c'eut été trop facile, donc méfiance). C'est l'histoire de Bill disais-je, américain texan en visite chez sa cousine à Sète (ville peu recommandable soit dit en passant).
Ce cher Bill après un copieux repas servi avec amour et bienveillance par son hôte et néanmoins proche parent, se trouva, après une digestion dans un canapé en cuir noir avec accoudoir et coussins assortis (1299 € chez le célèbre hébéniste nordique qui a trop joué au lego durant sa petite enfance), dans l'obligation d'assouvir un besoin tout naturel, la tasse de café et la cigarette ayant fait leur office.
Nonchalemment, notre gros yankee (oui, il souffrait d'un surpoids occasionner par un trouble du comportement alimentaire dû lui-même à une trop grande fréquentation de lieu douteux dits de la catégorie restauration rapide) se dirige alors vers les lieux d'aisance. Sa cousine n'eu pas à préciser qu'il fallait aller au fond du couloir à droite (tant est que le petit coin est toujours au fond du couloir a droite, et si on tombe dans la chambre, c'est que c'était a gauche, ce qui entre nous soit dit est à la portée de n'importe quelle jugeotte, fût-elle yankee), Bill trouva la cuvette tout seul, et fit son affaire. Il put remarquer que le lieu avait été amoureusement décoré par la maitresse de maison. Une petite bibliotheque etait disposé devant lui, quelques photos eparses de la famille ornaient le mur, et meme un bouquet de fleurs sechées venait ajouter quelques touches de couleurs et un je-ne-sais-quoi que Bill ne put d'ailleurs définir.

Soudain (tantantan rebondissement palpitant!), la cousine entendit un cri provenant du fond du couloir (a droite). Un cri angoissant, ponctué de jurons texans. Accourant alors vers le lieu du crime, elle voit notre ami Bill (oui maintenant c'est notre ami, ca fait tellement longtemps que l'on suit ses aventures aussi, alors forcement on s'attache), tout penaud devant la porte des chiottes (oui on va pas tourner autour du pot, hein! c'est les chiottes, point barre, cessons de nous voiler la face). Celui-ci tout rougeaud, baissant la tete, lache un :

"sorry, j'a mis partout".

Effectivement, distrait par la beauté et le cachet du lieu, ce connard de yankee avait pissé partout, et surtout par terre. Sa cousine, eu a peine le temps de s'en apercevoir. Glissant sur l'urée du coupable, elle atterrit, menton en tête sur l'immaculée cuvette, se faisant par la-même sauter pas moins de trois dents (un record si l'on en croit les annales consacrées au sujet, et puis dans une histoire de chiotte, si ca vire pas annales a un moment ou a un autre c'est qu'on passe à coté d'une bonne blague quand même).

"Aîe", dit-elle 'fa fait mal"....
"Oh efpefe de porc t'as piffé partout ma parole!!" s'exclama-t-elle dans une langue capillaire.

"Oh yes, sorry cozine" repondit le gros "Oh au fait, bel WC!"

Ce à quoi la cousine et néanmoins maitresse de maison a qui on ne la fait pas ne pu que repondre :

"Oui Bill ve fais"




[encyclopédie]

On l'appelait Afro-Jack, non seulement pour sa coupe de cheuveux mais aussi pour le rythme disco qu'il entretenait sans cesse, le moindre de ses pas, le plus simple des mouvements, tout en lui n'était que disco et fievre du samedi soir.

A la brigade c'étais l'as des as, il enchainait les affaires comme on enchaîne les pas sous la boule à facettes, et pendant que la myriade des dossiers se faisaient temponner au ryhtme endiablé d'un synthetiseur monocorde lui, toujours en rythme, ne faiblissait pas.

En arrivant à l'étage de son bureau, la seule envi qui pressait les inspecteur était de poser leur veste et de se mettre à danser. Dans le couloir ne résonnait que le cliquetit de la machine a écrire qui reprennait tour à tour les plus gros hit disco du moment.

Afro-Jack était un as, seulement depuis maintenant quelque années planait une ombre dans le ciel bariolé de couleurs inmariables.
Un dossier arrivait et en six clopes et dix minutes l'affaire était résolue.
A ce rythme, il ne restait plus beaucoup de gangster en liberté, le problème restait qu'a mesure où il épuisait les affaire, il fumait de plus en plus.

...


On raconte qu'il fit encore des arrestations spectaculaires avant que le drame ne surgisse...
Il n'y a pas de source sûre, mais il parait qu'il attrapa un cancer des cheuveux à force de trop fumer, et qu'en perdant ces dernier il perdit la moindre notion de rythme. Il decida bien d'arreter la clope, il n'avait pas trop le choix, et s'en remit au substituts à base de saccharose de chez chupa chups.
C'est ainsi qu'afro-Jack mouru et que cojack lui succeda bien difficilement, et sans rythme, sans aucun rythme...

[principauté]

J'aime

(et je passe mon tour avant que ce fil ne se transforme en duel ^^ )

Taïga. Zone sauvage et envoûtante à perte de vue, le loin thym sauvage dessine l'horizon, le froid enlace les arbres hauts rangés orangés entre lesquels le tigre blanc serpente de ses rayures les ombres portées par les géants d'écorce. Soeur de la Toundra mère incontestée de la coiffe glaciale qui couronne les steppes.
Naran, le soleil, dore les pans blancs de la yourte de Damdinsuryn, Yusun et Genghis mais il est encore tôt, la gelée côtoie la verdure qu'elle rend scintillante, beauté fraîche s'étendant tout autour jusqu'à ce que l'oeil rencontre les nuages. Aujourd'hui c'est la fête de l'aigle, chaque cavalier montrera ses dons d'accrobate et de chasseur tandis que le rapace sera loué et que les rubans de couleur vive embelliront les chevaux.

Et comme tous les ans, quelques voyageurs étrangers à la langue si incongrue se mêleront à la foule pour assister au spectacle. Menés par leur guide, les touristes belges ou allemands pour la plupart, viendront observer cette étrange journée où les terres unies sont soudain mouchetées par la fantaisie des soies mongoles où les proportions habituelles calculées par le regard sont changées par l'immensité des terres écrasées par le ciel, où tout repère d'espace ou de temps est à reconsidérer.

Déjà les hommes apprêtent leur chevaux, les femmes ajustent leur chaudes vestes tandis que des visiteurs affluent, l'agitation commence à faire vibrer le silence. Un aigle immense repose sur le bras confiant de son protecteur, un homme à la peau cruivrée qui lisse d'un doigt ganté les plumes de l'animal.

- Saïm Baïn u ?
Un vieil homme le regardait en souriant et Kurt lui rendait son sourire bien qu'il n'ait pas compris un traître mot. Il s'était délibérément éloigné de son groupe et de fait, il le regrettait à présent. Le vieil homme enchaînait à toute vitesse un flot de commentaires où perçaient certains mots "Tsègnguèl" " Djoudjik" "Tsorik"... "Djoudjik... le spectacle non ? Impossible de se souvenir... heureusement, Léon l'avait rejoint et riait déjà de la confusion qui dégoulinait des joues de son ami.
- Alors Kurt, tu viens oui ? On va rater les explications du guide.
- Ach ! che viens !
- Après on se fera un petit Jokari !
- Ja ! Chaime taper dans les balles.

N'ayant trouvé aucun groupe en partance pour la Mongolie depuis Mannheim, Kurt s'était mêlé à celui en provenance de Namur. Et il était enchanté de son séjour, et de la journée qui s'offrait à ses sens. Après avoir chaleureusement applaudi les participants, il rejoigna un petit groupe de personnes dans la yourte principale où l'on servait une collation. Les gâteaux de soja et le thé traditionnel qu'on leur présenta, furent leurs mets du moment, la boisson faite de feuilles de Tsaï rares offrait la plus belle teinte qu'il eut jamais vu. Au mur des tapis et étoffes rouges et or garnissaient l'intérieur.
Kurt était ébahi de la chatoyance des reflets ambrés et couleur cognac qui dansaient dans sa tasse de grès, le temps que l'eau se refroidisse il agitait par douces saccades le récipient. La richesse du lieu reposait finalement en bien peu de choses et cette grandeur faite de peu l'émouvait plus encore.

Léon, comme à son habitude, racontait la blague du Français à grande gueule (qui se décline en différentes variétés dialectales, comme suit : "qu'est-ce qui est [mettre la garniture adéquate] ? Un français, parce qu'il a une trop grande gueule !" "Pourquoi ne peut-on jamais [garniture adéquate] ?" "Un Français, parce qu'il a une trop grande gueule !" etc.).
Pris d'un fou-rire, le voisin de gauche de Kurt lui décocha un malencontreux coup de coude si bien que la tasse de Kurt lui échappa des mains. Ne voulant briser l'objet Kurt tenta de le ratrapper du mieux qu'il le put. Grâce à ses excellents réflexes, il y parvint mais pas assez vite, si bien que le liquide se répandit sur le sol. Devant tant d'injustice, contemplant la tâche sombre se diluant au sol, Kurt ne put s'empêcher de pester face à tant de tristesse et de soupirer :
- Prrr ! Un si Peau Thé ! Quel domache !


Ahem...

Prochain mot : [Cornemuse]

trés choli ^^

bienviendu dans le cercle des boulets disparus!
(à force de prendre la porte ils savent plus où ils sont)

Longue vie aux blagues nulles et que la bêtise prévale!

Citation :

Longue vie aux blagues nulles et que la bêtise prévale!

la ?!

Eleveur de volailles en tout genre,
un gaulois avait fait fortune en commerçant avec les légions romaines,
si bien qu'il se prétendait aujourd'hui citoyen romain et vantait sans cesse à ses ruraux confrères les progrès que l'empire avait apporté,
les routes si droites, la discipline de fer, les sciences et les lettres.
Devant tant d'enthousiasme, les petites gens répliquaient que c'était une honte pour un maitre coq d'avoir ainsi pactisé avec les poulets!
Toujours dans une volonté d'intégration il envoya le dernier de ses fils étudier le latin et le commerce à Lutèce.
Celui-ci revint plein de lettres et de conceptes modernes,
et il fut question de la rentabilité de l'exploitation:
'Padre, cessons d'occire nos poules, nous aurons alors plus d'oeufs à vendre.'
'Bien fils, mais nos poules alors vieillirons, perdront de leur fertilité et ne seront pas remplacée par leurs poussins.'
'Il suffit simplement d'opèrer calcul, optimisont ainsi le renouvellement démographique...
agacé par son insolence et l'étalage de si fraiches connaissances, le père trancha:
'Pas d'oeufs, pas d' poules!'
'Bien sur, mais la réciproque est également valable, point de poules, point d'oeufs, comme l'a souligné l'illustr...
'Dégage donc fils!' S'écria le père visiblement exaspèré
'Avant que la seule présence de ton corps ne m'use les nerfs et la santé!'
Pour s'entendre répondre d'une voix vexée:
'Je suis d'accord, ne musardont plus avec çà, père!